Peredur

Nom: (inconnu)
Prénom: Peredur
Race: humain

Signe du Zodiaque: Sagittaire

Caractére: amical, determiné

Qualités: ouvert au monde, sa vie forestiere lui a permis de developper ses sens
Défauts: decouvre le monde

Histoire:

Une nuit les habitants de la forets se reveillerent tous en sursaut. Des lueurs, des cris, des rumeurs de combats venaient troubler la quietude qui y existait alors. Alors que les plus sages de ces etres emmenerent les femmes, les enfants et les anciens vers les profondeurs de la foret, les jeunes guerriers furent chargés d'aller observer ce qui se passait a la lisiere de leur territoire.
Le plus jeune du groupe, qui s'etait eloigné des autres, avait presque atteint la plaine lorsqu'une femme arriva en courant, poursuivie par un chevalier qui planta sa lance dans le dos de la femme. Bien que mourrante, elle se trainait encore, cherchant a proteger son bebe qu'elle tenait dans ses bras, a s'eloigner de l'homme en armure qui, descendue de son cheval, s'appretait a violer la morte. C'est alors que le jeune sylvain, un centaure, sortit de l'ombre et tua l'homme dont il ramena la depouille hors de la foret. La femme agonisait encore quand il revint et decida de l'emmener chez lui pour la soigner. Elle mourrut durant le trajet, dans les bras du centaure mais gardait son etrainte sur le bebe.
Une fois chez lui, il allonga le corps sur son lit et jura a la morte de prendre soin de son enfant. C'est alors que toute force disparut de ses bras et la creature pris l'enfant dans se bras.
Il enterra la femme dans la foret, a cote de sa maison, apres avoir cherchée sur elle toute trace de son idendité. Tout ce qu'il trouvit fut une un medaillon qu'il garda precieusement ou etait gravé un blason: 3 triangles dorés sur un fond bleu.


Les années passerent et l'enfant grandit en force et en intelligence au milieu des creatures sylvaines et des arbres. Chiron, le centaure prit femme dont il n'eut aucun enfant. Aussi le couple avait reporté tout leur amour sur leur fils adoptifs. Chiron s'occupa lui meme de son enseignement. Il lui apprit tout ce qu'il fallait pour survivre et s'integrer dans la societe. Il lui apprit tout de la foret et meme le langage des animaux. Et surtout, il lui apprit a se battre. Peredur ne tardit pas a maitriser l'arc et la lance. Il apprit d'autres facons de combattre mais auquelles il prit moins d'interet.
A l'age de 17 ans, il etait au sommet de son art: dans la foret, il se deplacait vite et sans bruit alternant course au sol et deplacement aerien (il se deplacait d'arbre en arbre en sautant). D'un coté de la foret, il pouvait tendre une embuscade a un convoie qui avait penetré de l'autre coté de la foret alors que celui ci n'avait parcourue qu'un tiers de la largeur de la foret. Il le pouvait grace a sa connaissance de la foret et aux yeux de son plus fidele ami: une chouette brune, Morgwen, qu'il avait vu naitre et qu'il avait sauvé alors qu'il etait tombe de son nid (mais c'est une autre histoire...).
Aussi son pere se decida et lui remis son medaillon afin qu'il puisse retrouver son peuple et son nom (peut-etre que son pere n'etait pas mort ?). Ainsi Peredur quitta sa foret pour decouvrir un monde inconnu, qu'il avait appercu du haut d'un arbre, a l'horizon...

element: bois ? (sinon: air)

Clan Terre! Bravo à toi!

(dsl pr le retard. J'étais en vac...)

Apres ca visite au vieux medecins, impressionné par la puissance des artefacts des lycanthropes, Peredur partit dans une eprouvante quete.
Il partit dans une contrée lointaine, appelée la Grece, ou il accomplit mains travaux: exploits physiques et intellectuels en la gloire des dieux du Mont Olympe.
Ca renommée fut grande et le precedait partout ou il allait. Elle ne cessait de croitre. Tout comme les histoires de ces exploits ...

Apres des mois et des mois d'epreuves harassantes, il entreprit d'escalader le Mont des dieux. Ce fut sa pire epreuve: parchemé de pieges, d'enigmes, et d'ennemis envoyé par les dieux pour le tester, c'est a bout de force qu'il se trainait au sol pour arriver au sommet (1 mois apres). Son esprit avait vaincu sa condition physique. C'est a ce prix que les dieux l'acceuillirent et le soignerent. Il avait ete choisit pour etre le Champion de l'Olympe.
Sa convalescance fut longue mais douce. Il rescut de nombreux presents des dieux (qu'il apprit a connaitre) pour son titre et le feliciter.
-Une lance, present de Zeus et de son frere Poseidon, qui contenait le pouvoir des tempetes et des seismes;
-Un arc, present des jumeaux Apollon et Artemis, qui tirait des traits de lumiere;
-Une armure, present d'Athena et d'Hephaistos, resistante autant que legere, elle n'entravait nullement ses mouvements;
-... (ca va vite, je ne parle pas de tout et ne decris pas a fond...)
Son ocarina recu (ainsi qu'ils l'avait pour lui precedement) la benediction de chaque divinité (majeure come mineure).
Il laissa certains des presents sur place mais demanda tout specialement a Hephaistos de lui forger, a partir de son pendentif, un receptacle a sa pierre magique, qui conserverait le meme blason. (Le resultat fut plus admirable que prevu: a quoi s'attendre d'autre de la part d'Hephaistos ?)

Il repartit, son ame etait changée, son corps etait changé, il etait changé. Tout son periple n'avais pas semblé durer plus d'une semaine grace a Chronos. Il etait chez lui, peu de temps apres etre partit.

Alors que Peredur se promenait dans la forêt, parmis les animaux et les plantes quand une douleur dans sa poitrine le jetait a terre. Il mena sa main a son coeur et sentit que quelque chose allait de travers, que la vie perdait de son goût, de ses couleurs, de sa vie... Katiana etait morte. Ca vie avait été ravie en même temps que la sienne. Il n'avait plus aucune raison de vivre sauf une promesse. Comme un écho d'un temps ancien, disparu, cette promesse lui revint en mémoire. Etait-ce un signe du Destin ? Comment se souvenir pouvait ressurgir à cet instant ? Il ne pouvait plus consommer son chagrin, il devait à présent atteindre son but. Et il se mit en route sur le champs.



Cheminant, allant de rumeur en légende, il découvrit de nombreux mythe qui devait le mener aux portes de ce lieu sinistre et tant redouté, interdit à ceux de son espèce. Tout celà se révela vain.
Quand un jour il se retrouva devant un grand temple. Sur le fronton était écrit cette phrase : "Connais-toi toi même". Il entra et se présenta à la pretresse qui siegait sur un haut tabouret. En offrande, il se sépara de ses attributs de guerriers, tous les cadeaux des dieux, allant même a se séparer de son amulette, de son identité. Il n'était plus qu'un pélerin anonyme parmis tant d'autres. Quand soudain, de la source sulfureuse, une main sortit et l'attrapa par la cheville. Il essaya de se debattre mais la force mysterieuse l'entraina, à travers l'eau, au plus profond de la terre, dans les entrailles de Gé.
Il se noyait, il n'avait plus de souffle quand il atteint la berge d'un fleuve. Il était aveugle, il ne voyait rien. Non, c'est à cause de l'obscurité, il faut laisser le temps de s'habituer a la pénombre. Sa chouette se posa sur son épaule. La seule trace de son existence passé était cet oiseau qui avait affronté les perils d'un chemin imaginaire pour se retrouver a coté de lui à côté de ce fleuve souterrain. Il ne comprenait pas comment il était arrivé là, encore moins comment Morgwen aurait pu le suivre, mais il n'estimait pas que le moment fut opportun pour songer à celà. Et il commencait à longer le fleuve vers un lieu semblant en mouvement.
Soudain une bête lui sauta dessus. Arrivée de derriere, seule Morgwen la vit arriver et elle prevint Peredur avant que son dernier souffle de vie ne soit emporter par les crocs de ce monstre. Il n'eut pas toutefios le temps d'éviter completement le coup et fut bousculer et roula par terre.
Il se releva en faisant face a la créature pourvue de trois geules, trois têtes canines sur un corps de chien. Cerbère, il était donc aux Enfers et le fleuve dont il avait emmergé était bien l'Acheron comme le soufflait une petite voix en lui.
Le chien chargeait à nouveau, Morgwen tachait (sans succes) de lui detourner l'attention et Peredur, desarmé, n'avait d'autres choix que de courir. Et il s'approchait dangereusement du fleuve. Il ne savait comment il avait pu survivre à son premier bain, mais il savait que tout bain était fatal. Mais finalement, le fleuve fut son salut: le courant avait rejeté des débris d'épaves. Peredur trébucha sur l'un de ses débris, et entendis que Cerbère s'etait arreté derrière lui, près à bondir et à le déchiqueter de ses puissantes machoires. Il se retourna alors que Cerbere se ruait sur lui. Mais la curée fut courte puisque qu'un pieu lui pénétrait désormais le coeur. Par reflexe, Peredur en se tournant, avait saisi le morceau de poutre qui trainait sous sa main.
Peredur se releva et decouvrit avec stupeur que le corps du gardien avait disparu pour laisser place à une obole. Il la prit et continua son chemin vert la foule qui s'entassait autour d'un embarcadère. Il s'y mela, accompagné de sa chouette. Son tour venu, il put monter dans une barque en échange de la pièce. Le passeur fronca les sourcils en regardant la pièce mais mena tout de même la barque sur l'autre berge.
Une fois arrivé, Peredur descendit, mais, premier detail inquietant, le Passeur descendit aussi. Second détail, des gardes convergaient vers lui. Et il était dans l'incapassité de se défendre.
Peredur, escorté du passeur et des gardes, fut mené à un grand palais qu'il pénétra, traversa le hall, pour arriver dans une grande piéce circulaire munie de gradins vides et au milieu se dressaient 3 hommes: Rhadamanthe, Minos et Eaque, les 3 juges des Enfers.
"-Seigneurs, cet homme a tué Cerbere comme l'ateste l'obole qu'il ma donné: les têtes de cerberes y sont représentées, dit le passeur.
-Est-tu coupable de ce dont on t'accuse, Vivant ? demanda Eaque.
-Oui, je me suis defendu après être ne sais-je comment aterri en ce lieu.
-Est-tu certain de ne savoir pour quoi ? demanda Rhadamantes.
-Je cherchais les Enfers afin de retrouver la femme que j'aime, morte alors que la vie s'offrait à elle. Elle ne méritait pas ce Sort.
-Je n'ai jamais vu celle dont tu parles, répondit Charon.
-Quoi ?
-Il dit vrai. Elle est morte mais son âme n'est pas en ce lieu, dit enfin Minos. Mais les crimes dont tu es coupable: fouler le sol des morts et tuer cerbère; n'ont qu'un prix: le Tartare."
Un gouffre s'ouvrit sous les pieds de Peredur et il chut. Durant la chute, la voix de Eaque résonna a ses oreilles:"Ta chouette est morte en te voyant disparaitre, de peur et de chagrin. C'est ainsi qu'elle a atteint le monde des morts. Aussi doit-tu désormais la laisser en paix, ne plus chercher a la revoir." Dans ce puit sans fond, il perdit connaissance avant d'arriver au niveau du sol de ce monde inconnu.

Peredur se reveilla dans un monde chaotique impossible à décrire tellement il est diferent du notre. La faune et la flore inconnue arborait, ainsi que tous les materiaux, des couleurs qui n'existent pas chez nous. Les decrires serait une tâche dont l'éternité ne saurait venir à bout car l'esprit humain ne consoit pas ce concept, il assimilerait toujours une couleur que l'oeil a vu.
Peredur se leva et scruta l'horizon: de vertigineuses falaises murait ce lieu ou se dressait en son centre le plus formidable edifice que Gaia n'est jamais porté: une forteresse massive se dressait à perte de vue. Cette prison semblait impenetrable et les perils qu'elle abritait devaient être insurmontable pour lui.
Il avait faim. Il avait soif. Il partit chasser.

Sa vie était désormais une succesion de combat: chasser pour se nourir, abattre pour se défendre. Il atteint une réputation qui repoussait d'abord les gens. Mais rapidement des guerriers, des bandits, toutes sortes de personnages se mirent à le suivre. Peredur, totalement inconscient de son pouvoir sur les foules, allait, chemin faisant, entrainant de plus en plus de monde dans sa trainée, alors qu'il pensait seulement à retrouver sa bien-aimée dans le monde des vivant.

Alors qu'une véritable armée s'était mis à le suivre, Peredur recu un messager qui apportait une convocation de la part du Roi. Il s'y rendit à la recherche des informations promises dans la lettre.
Le Roi était un homme vieillissant mais possedant encore beaucoup de force, qui s'était auto-procalmé Roi du Tartare après avoir abattu tous ceux qui possedaient une certaine influence, et s'accaparant leurs réseaux. Il voyait désormais un péril en Peredur et aussi l'avait-il fait amener à lui.
"-Passons les formalités, nous sommes seuls et je sais pourquoi tu es la et ce que tu veux: t'enfuir du Tartare. Moi, je m'y sens bien, puissant et j'ai tout ce que je veux. Mais la seule ombre au tableau, c'est toi. Tu as trop d'influence et même si tu ne le veux pas, on risquerait de te mettre à ma place. Je te propose un marché: je t'aide a t'en aller et tu appuis mon pouvoir en devenant mon féal (avant de partir).
-J'aime mon indépendance. Pour la conserver, il me faut donc partir. Dites moi comment vous ferez pour me faire partir d'ici et je verrais si votre proposition est acceptable.
-Tu n'as pas vraiment le choix. Dans de vieux parchemins, j'ai trouvé la clé. Le seul hic, est qu'elle se trouve dans le palais des titans.
-Quoi ? Mais c'est du suicide. Je l'ai vu le premier jour et j'ai tout de suite vu qu'elle était impenetrable.
-Depuis ton arrivée, ta puissance à beaucoup grandie. Je sais que tu peut y entrer, et atteindre la salle au trésor qui se touve dans la la plus haute tour. Elle ne possede qu'une seule pièce et l'acces en sera bien gardé.
-Donc, je dois rentrer, me defendre des titans, cyclopes et autres monstres pour atteindre une clé ? A quoi ressemble-t-elle d'ailleur.
-Nul ne le sait. Mais le prix pour l'avoir est sans equivalent.
-Qu'importe. Si elle est ma seule solution, je n'ai d'autre choix.
-Bien. Je te laisse te reposer et je t'accompagnerais jusqu'au pied des murailles. Un acces a ete créé par des fous au fil du temps."

Peredur et le Roi, le lendemain, se tenaient seuls au pied de l'enceinte. Devant eux, tailé dans la roche, des entailles faisaient comme une échelle.
"-C'est par là que tous ceux qui voulaient échapper à leur Destin ont pénétré ce lieu. Le Destin les à ratrapper à l'interieur, personne n'en est revenu," dit le Roi.
Peredur, sans un mot, s'approcha du mur et glissa une main dans l'une des infractuosités. Alors que la pierre était lisse, la faille était rugeuse et poussiéreuse, des morceaux restaient à l'interieur.
*J'espere ni me blesser ni glisser dans mon ascension...*
Et ainsi Peredur commenca ca quête qui sembla durer des jours, des semaines tellement elle fut intense. Raconter tous ses exploits prendrais une éternité aussi ne vais-je en conter que les grandes lignes.
L'ascension faite, il arriva entre des créneaux qui faisaient 3 fois sa taille. L'architecture était faite pour des géants mais des passages étaient aménagés pour les humains. Il avanca furtivement, érrant çà et là, avant d'atteindre une tour qui se dressait en plein coeur des lieux. Il entra precipitement car quelque chose approchait. Il était desormais dans une grande salle dont il ne pouvait voir le plafond, toute entourée d'escaliers qui menaient au-delà des nuées. Devant lui se dressait un trone d'où le regardait attentivement une créature à un oeil, un cyclope, qui se dressa et lui assena un coup de massue qui fracassa le sol. Peredur se rendis enfin compte de l'effet se son sejour au Tartare sur son corps: ses reflexes et ses mouvement etaient aussi rapide que la lumiere, sa frappe a main nue aurait detruit des montagnes.
Il avait sauté sur la massue, courut le long du bras et asséné un coup de pied dans la figure du cyclope qui tituba sous l'impacte afant de s'etaller de tout son long sur le sol. Peredur en profita pour fuir tandis qu'il était assomé. Et il entreprit de grimper l'escalier. Au fil de son avancé, des créatures l'attaquaient qui disparaissaient en mourant, comme un songe, emportant un peu de l'humanité de Peredur.
Au bout d'un temps infini, peredur atteint soudain la salle dont avait parlé le Roi. La se dressait une épée fichée dans une stèle et une armure qui semblait tenir par elle meme, entre les pattes d'une statue de dragon.
Il s'approcha, saisit l'épée à une main et tira. Elle ne bougeat pas. Il mit la seconde main sur la garde et une lumière aveuglante s'échappa de l'intersice entre la roche et la lame de l'épée, puis d'entre les failles qui se créaient dans la stèle qui s'effritait. L'armure se détacha et vint s'adapter sur le corps de Peredur. Une douleur immense s'eveilla en lui, comme si l'amure se soudait à sa peau, que son âme était aspirée par l'épée.
C'est alors que le dragon se réveilla. Un dragon squelette dont l'âme était gardée par l'épée, dont le rôle était de garder l'épée.
Peredur mania l'épée inconscient de ses mouvement et la planta. Dans le coeur du dragon qui fut aspiré par la lame. Alors peredur sentit à nouveau son âme dans son corps. et une voix s'éleva dans sa tête:
"-Tu t'es révélé digne de me posseder. Je t'offre ce dragon squelette, il sera ta nouvelle monture. Je suis ton épée désormais. je ne fais plus qu'un avec toi. Ton Destin est irrémédiablement lié à l'épée qui est à la base de bien des légendes, dont le nom est aussi multiple que les possesseurs. Mais pour toi, je ne serais qu'un outil, désignée par un nom d'outil: Epée. Seuls les autres pouront me donner un nom car je serais à ton image, selon comment tu m'utiliseras. J'ai de nombreux pouvoirs et je te laisserais les decouvrir par toi même. Maintenant va ! Va faire ce que tu as été concu pour !"

Peredur s'éveilla au monde comme il ne l'avait jamais connu. Il sentait l'âme du dragon dans son épée, il ressentait l'âme de son épée en lui. Mais il ne s'attarda pas dans cette pièce. Poussée par une folie meurtrière il descendit, acheva le cyclope, et chercha le chemin de la sortit en tuant toux ceux qui passait à sa vue, inconscient de ce qu'ils étaient, inconscient de ce qu'il faisait. Jusqu'à ce qu'il fut devant le Roi. Là, il le tua en pleine conscience.
"-Je sais comment m'en aller désormais..."
Son armure l'avait rendu bien plus puissant physiquement, et l'épée devenait bien plus redoutable à chaque âme qu'elle absorbait par simple contact.
Avant de s'en aller, il avala toute son armée de morts dans sa lame. L'épée était désromais à un niveau de puissance qu'elle avait rarement atteint durant toute son éxistence. L'oeil était réaparu sur la lame.
Peredur compis ce qu'il devait faire: il planta son épée dans le vide, et d'un geste circulaire, ouvrit un passage qui se referma apres qu'il disparut, avalé par le Néant.

Nom: Drakengaard
Prénom: Taliesin
Race: Nain

Signe du Zodiaque: Capricorne

Caractére: Peut se montrer amical mais s'ouvre difficilement aux inconnus
Qualités: Tres fort et résistant, maîtrise les runes magiques
Défauts: Peu rapide, colérique (tres dangereux dans ses accès)

Histoire: (a venir) Lieutenant de Peredur dévoué par la force de l'amitié

Element: Terre
Armes: Hache à double tranchant en mythrill, Fusil de précision

Nom: (inconnu)
Prénom: Gnome
Race: esprit

Signe du Zodiaque: Balance

Caractére: Blageur, il aime jouer des tours. Mais serieux, il devient un terrible adversaire.
Qualités: Amical, joueur, maîtrise la terre et de nombreux sortilèges
Défauts: Amical avec l'ennemi, ne se met a attaquer que si on s'en est pris a lui.

Histoire:(inconnue) Alors que Peredur cherchait Luuna dans les montagnes, il fit la rencontre de l'esprit de la terre qui le suit depuis.

Element: Terre